12/05/2017

Presse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La lettre du trésorier, n°356, Avril 2018.

« Mais pour Thierry Giami, il y a loin de la coupe aux lèvres. « On a créé un contrat, mais pas un marché », constate l’inspirateur et la cheville ouvrière des premiers fonds de prêt à l’économie quand il était conseiller à la direction générale de la Caisse des dépôts et consignations. Que manque-t-il pour passer de l’un à l’autre ? « Une place de marché dûment identifiée par les entreprises qui souhaitent se financer, un contrat plus simple, une structure permettant de mutualiser les moyens, une amorce de marché secondaire, et quelque chose que l’on a du mal à concevoir au pays de Descartes : une approche marketing » : une façon de dire que les parties prenantes de l’Euro PP pourraient s’inspirer de ce qui se fait en Allemagne d’une part, aux Etats-Unis d’autre part sous l’égide de la National Association of Insurance Commissioner. »

 

Wansquare, Février 2018.

« L’ancien responsable de la Caisse des dépôts, aujourd’hui patron d’un projet entrepreneurial, va succéder à Jean-Baptiste Bellon. Il a pour mission de moderniser l’association, par ailleurs très sollicitée au sujet de la mise en oeuvre de Mifid II.

La SFAF, la Société française des analystes financiers, s’apprête à connaître une nouvelle gouvernance. Lors de son conseil d’administration tenu ce soir, un nouveau président a été élu en la personne de Thierry Giami qui succède ainsi, pour 4 ans, à Jean-Baptiste Bellon, dont le mandat arrivait à échéance. Lors de l’assemblée générale de l’association, le 30 novembre dernier, il avait effectivement été élu administrateur aux côtés de trois autres personnalités : Franck Bataille, spécialisé dans l’analyse crédit au sein de Crédit Suisse ; Corinne Baudouin, analyste indépendante, grande spécialiste de l’ISR et enfin, Anne Bellavoine, analyste chez Invest
securities.

Cette élection est plutôt une surprise, Thierry Giami n’ayant pas le profil habituel des patrons de la SFAF. Cet ancien de la Caisse des dépôts, à l’origine des fonds Novo, Nova, Novi et aujourd’hui à la tête d’un projet entrepreneurial est toutefois un grand spécialiste des sujets financiers. Son entreprise, Nove im, est d’ailleurs spécialisée dans le financement privé d’actifs (aussi bien corporate qu’immobiliers ou d’infrastructures). « La modernisation de la SFAF, compte tenu notamment des technologies, de la data et de l’industrie financière, est l’objectif auquel je pense devoir m’attacher avec une équipe engagée pour regagner du terrain, à l’heure où la Place de Paris entend justement tirer avantage des conséquences du Brexit », commente Thierry Giami. »

Option Finance, 18/12/2017

Interview de Thierry Giami, Président de la SFAF

« Après avoir notamment été à l’initiative des fonds de place de financement à l’économie Nova, Novo et Novi, vous venez de prendre la présidence de la Sfaf. Pourquoi ce choix ?
Au cours de ma carrière, j’ai travaillé à plusieurs reprises sur des sujets de financement, ce qui m’a conduit à m’intéresser à l’analyse financière et à rencontrer les professionnels de ce secteur. Je connaissais donc la Sfaf, qui bénéficie d’une longue histoire et d’une grande expertise. Mais elle fait face actuellement à des enjeux majeurs. J’ai pu constater d’abord lors de mes précédentes expériences que l’importance de l’analyse financière était souvent sous-estimée en France. Les investisseurs n’y consacrent pas assez de moyens. Or cette tendance risque d’être accentuée par la réglementation Mif 2. En imposant que les frais de recherche soient payés non plus par les services d’exécution des ordres mais par les clients, celle-ci fait peser une incertitude non négligeable sur l’évolution de ce métier.

Précisément, quels risquent d’être les impacts de Mif 2 sur l’analyse financière ?
Mif 2 suscite beaucoup d’inquiétude actuellement, chez les analystes comme chez les gérants. Si ces derniers ne répercutent pas les frais de la recherche auprès de leurs clients, ils vont devoir financer ce coût supplémentaire par des gains de productivité. Cette recherche d’économies risque d’entraîner une baisse de la production d’analyses, et elle peut aussi inciter des acteurs à se rapprocher. Dans tous les cas, les emplois dans le secteur de la recherche pourraient être affectés. Ma première tâche à la Sfaf va donc consister à travailler sur la façon de nous adapter au mieux à cette nouvelle donne : nous allons produire une étude dès le premier trimestre, pour mesurer l’impact de Mif 2 sur notre métier. Si les effets négatifs sont avérés, nous pourrons ainsi donner l’alerte rapidement. Mais la réglementation présente aussi des opportunités dont nous pouvons tirer avantage.

Comment relancer l’intérêt pour l’analyse financière ?
Nous allons regarder la façon dont ce métier est exercé sur les autres places, non seulement en Europe, mais aussi aux Etats-Unis. Cela nous permettra de mesurer l’importance accordée à l’analyse financière et les moyens que lui consacrent les investisseurs locaux. Mais nous devons également travailler avec les émetteurs.
En dehors des groupes du SBF 120, les entreprises sont peu sensibilisées à l’analyse financière. Quand je présidais l’Observatoire du financement des entreprises par le marché, j’avais constaté que les émetteurs n’avaient pas dans ce domaine une attitude proactive. Nous avions alors lancé un dispositif visant à les mettre en contact avec des analystes, afin de les inciter ensuite à co-financer des analyses sur leurs titres. Ce système avait plutôt bien réussi. Il est donc possible d’innover dans ce domaine. »

 

Les Echos, 05/12/17

« La SFAF (Société Française des Analystes Financiers) change de président.  Thierry Giami, ancien conseiller du gouvernement et de la CDC , a été élu lundi soir, à la tête de cette association française, acteur majeur de la place de Paris depuis 50 ans.

La SFAF qui regroupe 1449 membres, des spécialistes de l’analyse financière et de l’investissement en valeurs mobilières, oeuvre à l’amélioration des techniques de l’information financière via les travaux des commissions et groupes sectoriels, et à la formation des professionnels de la finance via son centre de formation. Elle accompagne aussi les émetteurs dans l’organisation de leur communication financière.

Thierry Giami succède à Jean-Baptiste Bellon, en poste depuis décembre 2014. Cet ancien directeur général adjoint de Groupama est bien connu des marchés financiers. En 2011, il a co-écrit avec Gérard Rameix, à la tête de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) jusqu’en juillet 2017, un rapport sur le financement des PME-ETI par les marchés financiers, promouvant une plate-forme dédiée aux PME-ETI.  A partir de 2012, il a conçu, placé et supervisé, pour la CDC, de nouveaux véhicules financiers pour les entreprises , les premiers fonds actions cotées réservés aux petites valeurs NOVA, les premiers fonds de prêts obligataires à l’économie NOVO. »

 

Les Echos, 05/12/17

« La SFAF (Société Française des Analystes Financiers) change de président.  Thierry Giami, ancien conseiller du gouvernement et de la CDC , a été élu lundi soir, à la tête de cette association française, acteur majeur de la place de Paris depuis 50 ans.

La SFAF qui regroupe 1449 membres, des spécialistes de l’analyse financière et de l’investissement en valeurs mobilières, oeuvre à l’amélioration des techniques de l’information financière via les travaux des commissions et groupes sectoriels, et à la formation des professionnels de la finance via son centre de formation. Elle accompagne aussi les émetteurs dans l’organisation de leur communication financière.

Thierry Giami succède à Jean-Baptiste Bellon, en poste depuis décembre 2014. Cet ancien directeur général adjoint de Groupama est bien connu des marchés financiers. En 2011, il a co-écrit avec Gérard Rameix, à la tête de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) jusqu’en juillet 2017, un rapport sur le financement des PME-ETI par les marchés financiers, promouvant une plate-forme dédiée aux PME-ETI.  A partir de 2012, il a conçu, placé et supervisé, pour la CDC, de nouveaux véhicules financiers pour les entreprises , les premiers fonds actions cotées réservés aux petites valeurs NOVA, les premiers fonds de prêts obligataires à l’économie NOVO. »

 

Journée nationale des investisseurs 2017, 30/11/17

NOVEim a participé à la journée nationale des investisseurs le 30 Novembre à l’Hotel Salomon de Rothschild (Paris). Thierry Giami est intervenu à l’occasion d’une table ronde qui avait pour sujet « La mutualisation des investissements sur la dette privée et sur l’immobilier s’impose-t-elle pour saisir les meilleures opportunités sur le marché ? Comment structurer et externaliser les risques liés à la détention de participations non cotées ?« 

La Journée nationale des Investisseurs est un événement annuel réunissant les acteurs du financement de l’Economie et les investisseurs professionnels en leur permettant d’échanger autour de débats et de tables rondes.

Cette année, la JNI avait pour thématique « les initiatives trop méconnues d’investisseurs et de leurs partenaires rendues possibles grâce à leur esprit visionnaire« .

 

L’AGEFI, 04/10/17

« Le président du Medef, Pierre Gattaz, a annoncé ce mardi l’ouverture de Medef accélérateur d’investissement, une plate-forme de financement en ligne destinée au financement des PME en région. Pierre Gattaz vise, pour les trois années à venir, «500 millions d’euros de financement pour 500 entreprises», et, plus précisément «10 entreprises par département». Ceci ne serait qu’une «première étape».

L’objectif est de renforcer les fonds propres des PME ou d’allonger la durée de leur endettement. Les PME «ont besoin de trouver des ressources de longue durée comme des fonds propres et prêts obligataires (qui sont remboursables à la fin de la durée du prêt) dans des conditions qui ne soient pas trop coûteuses», affirme Pierre Gattaz. Le patron des patrons suggère que la disparition de nombreuses PME françaises, incapables d’accéder au statut d’ETI, tient notamment aux difficultés de financement. «Sur les 20 concurrents français d’origine de Radiall (l’entreprise qu’il préside), il en reste 3, tandis que les 20 concurrents allemands ont pu croître et prospérer» affirme-t-il.  Il s’agit aussi de former les patrons de PME à la finance, ce qui sera fait avec le soutien des conseillers locaux de Bpifrance.

Selon Thierry Giami, créateur des fonds Novo et Novi pour la Caisse des dépôts et architecte de cette nouvelle plateforme, «une dizaine de fonds sont référencés», qui viendront financer les besoins des PME. «La capacité de financement atteint déjà 1 milliard d’euros», annonce-t-il. Pierre Gattaz précise cependant que cette plate-forme, au statut d’association, créée en partenariat  avec la FBF, l’ANIA, Bpifrance, la Banque européenne d’investissement (BEI), BNP Paribas, Siparex, Idinvest, Tikehau, Lendix….  est ouverte à tous les investisseurs institutionnels. Bpifrance et la BEI apporteront des garanties. »

 

Séminaire « Ressources technologiques et innovation » de l’Ecole de Paris, 22/02/17

NOVEim a participé au séminaire « Séminaire Ressources technologiques et innovation » de l’Ecole de Paris le 22 février. A cette occasion, Thierry Giami a réalisé une intervention ayant pour sujet « Fabriquer du capital pour l’économie réelle« 

Vous trouverez ci-dessous le lien permettant d’accéder au compte-rendu de l’intervention de l’intervention de Thierry Giami.

Accéder au compte-rendu de l’intervention

 

Les Echos, le 21/02/17

« Arrivé à maturité, le compartiment de l’Euro PP pourrait devenir moins rentable pour les investisseurs. En revanche, il devrait être de plus en plus sûr. Le marché de l’Euro PP choisit ainsi la voie de la solidité pour poursuivre son développement au service de l’économie.

Vu de l’entreprise, la valeur ajoutée d’un financement Euro PP est depuis plusieurs mois en question, au regard de la compétitivité du financement bancaire et du « Schuldschein « . Le marché de l’Euro PP a nettement reculé en 2016, à 5,2 milliards d’euros (-39 %), pour 80 opérations (-26 %).

En dépit de cette forte concurrence sur les opérations, l’optimisme des gérants ne faiblit pas. Ils le savent : la normalisation progressive du crédit bancaire – en volume et en prix – et l’arrivée à échéance des premières opérations initiées sur l’Euro PP promettent d’animer le marché cette année. Dans ce contexte, les prêteurs entendent bien maintenir leurs exigences en matière de documentation, quitte à se montrer plus agressifs sur les prix. L’objectif ? A minima, introduire des « covenants  » et encadrer la subordination, dans un alignement avec les termes des principales lignes bancaires de l’emprunteur.

Cette volonté de se protéger paraît d’autant plus légitime que le marché vient de connaître son premier accident industriel avec le défaut d’Agripole, holding de financement de la Financière Turenne Lafayette (Madrange, William Saurin, etc.), qui avait émis 80 millions d’euros d’obligations notamment auprès du fonds de place Novo 1. Si la nature frauduleuse du dossier absout les gérants de leur responsabilité, ces derniers ont désormais à coeur de ne pas laisser le marché se construire à leur détriment, sur des structures trop flexibles ou trop écartées des cadres contractuels bancaires.

Au-delà de ces péripéties, le basculement du financement de l’économie des banques vers les investisseurs institutionnels reste une tendance de fond. Pour prendre le relais, la gestion collective doit renforcer son expertise et créer de nouveaux fonds, à l’image de Thierry Giami, qui se lance dans l’aventure entrepreneuriale avec Nove im. »

 

Les Echos, le 15/11/16

« Thierry Giami, le chef d’orchestre des fonds Novo, Novi et Nova à la Caisse des Dépôts, se lance à son compte. A travers sa société, opportunément baptisée « NOVEim « , il proposera dans un premier temps du conseil aux investisseurs, émetteurs et sociétés de gestion. L’ancien conseiller de la direction de la Caisse des Dépôts prévoit ensuite de créer une véritable société de gestion « en mesure de proposer différents outils susceptibles de faciliter les financements privés et, à terme, une plate-forme multi-assets permettant tout type d’investissement aussi bien en fonds propres qu’en dette pour tout type d’émetteur ».

Après avoir mobilisé 2,2 milliards d’euros auprès de vingt-cinq grands investisseurs pour les véhicules créés dans le giron de la CDC, Thierry Giami compte bien capitaliser sur son expérience et « continuer de développer le marché du financement privé ».

 

L’Argus de l’assurance, 28/10/16

« Thierry Giami, conseiller de la direction de la Caisse des dépôts et président de l’Observatoire du financement des entreprises par le marché, quitte la Caisse des dépôts. Ce spécialiste du financement des entreprises qui a porté les projets de fonds Novo, Novi et Nova, se lance dans l’aventure de l’entreprenariat en décidant de créer la société « NOVE im » qui poursuivra 3 objectifs : conseiller les investisseurs, sociétés de gestion d’actifs, etc ; créer des fonds de financement de l’économie mais aussi structurer le marché du financement privé. »

 

Investment & Pensions Europe, Mai 2016

« Some 200 institutional investors and financial executives turned up to hear Emmanuel Macron, the French economy minister, address an event at the ministry of finance. It was not about a new tax, budget or the public finances but the launch of a new fund meant to help funnel institutional investors’ money to small and medium-sized enterprises (SME).

One powerful idea within the NOVO and NOVI fund series (after NOVA fund, which was geared to private equity only), is that they were designed and overseen by a club of institutional investors gathered by Thierry Giami, adviser to CDC’s executive committee. Instead of having funds designed by asset managers who then go after investors, NOVO and NOVI were designed by investors who went after asset managers for  mandates.

NOVO was launched in November 2013 by CDC and 23 other institutional investors, gathering €1.015bn. As of March 2016, all the money had been lent to 45 small and mid-sized enterprises. “As it is compulsory for such funds to invest all their money within three years, NOVO is still allowed to finance new loans until November 2016,” says Giami. “So it opened a last tranche of capital-raising to its investors in the first quarter, collecting €300m of new money, which it will have invested before the end of November.” »

Accéder au contenu de l’article

 

 

Investment & Pensions Europe, Mai 2015

« Before the Novo fund was launched in 2013, there was almost no debt instrument for smaller companies in France apart from bank loans, recalls Giami. “We realised there was strong demand for debt financing with the Novo funds, so we wanted to offer this facility to a larger number of companies,” he says. “But our mission is not to load companies with a debt burden. They also need capital – so, with Novi funds, we offer a financing mix of equity and debt according to companies’ needs.” »

Accéder au contenu de l’article